Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Cela faisait une petite semaine que j'étais ici à profiter du soleil et le travail ne me manquait pas. J'avais conservé mon ordinateur portable pour pouvoir me tenir au courant, mais je l'avais à peine allumé que j'étais retombée dans mon travers : travail, travail, travail et le fait d'être au bord d'une plage n'avait rien changé, si bien que j'avais imposé un couvre feu : aujourd'hui, pas d'ordi.

Aujourd'hui, j'éviterai aussi la plage, la dernière fois je n'avais trop profité de l'intégralité du complexe, me contentant des endroits sexuels ou de la plage, voir de ma propre chambre quant à ma visite de l'ancien bunker, n'en parlons pas : mes côtes s'en souviennent très bien.
Alors aujourd'hui j'allais crapahuter dans les jardins, après tout, il n'y avait pas de raisons de ne pas profiter un peu des lieux.
J'avais décidé d'enfiler une robe bleues agrémentées de fleurs jaunes et des sandales bleues montées sur un talon en bois complet d'environ six centimètres de haut.
Rien de très sexy ... Enfin ... Je suis toujours sexy, mais j'aurai pu l'être bien plus.

Je me déplaçais à mon rythme, découvrant les coins et recoins de l'île, du moins ceux que je pouvais voir sur le chemin en directions des jardins. Cela allait être au moins original de voir des lieux que j'avais boudé lors de ma première visite. Peut-être qu'au final ma grosse erreur avait été de tout miser sur le sexe ? Mon petit plaisir personnel était clairement de m'éclater au pieu, la luxure était clairement mon pêché favori et j'en avais eu une sacrée dose la dernière fois, avec plusieurs locations et surtout avec un jeune soumis croisé dans une boutique de chaussures, l'occasion de découvrir les plaisirs de la domination fétichiste et je ne l'en remercierai jamais assez.

Etait-il encore ici ? Je l'ignorais, mais il était vrai qu'il était l'une des raison de mon retour dans cette île : j'aimais être traitée comme une déesse et lui me faisait sentir supérieure à cela ...

Mais pour l'heure, repos ! J'avais prévu une salade au saumon avec un peu de vinaigrette saupoudré de poudre de croutons de pain. Une fois dans un lieu un peu libre, je décidais de me poser sur une nappe amenée à cet effet. Je grignotais ma salade pendant un moment, mes lunettes de soleil me cachant partiellement la couleur du ciel, j'enlevais mes chaussures pour les disposer à mes côtés afin de faire une petite sieste sous les rayons brulant de l'astre solaire.

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Il fait beau et je dispose d'un peu de temps libre. Cela me fait du bien de marcher un peu, de pouvoir me promener comme ca, au hasard. Une simple chemise, un short et des claquettes, et me voilà d'attaque pour la promenade.
Je sais qu'il y a des beaux jardins qui permettent d'avoir un peu de fraîcheur. Je décide de m'y rendre en marchant tranquillement. Ce qu'il fait chaud, me dis-je en essuyant mon front avec le revers de ma main.

Malgré tout, il est agréable de marcher, de regarder le paysage, et la beauté de l'ile. Je repense un peu à tout ce que je vis depuis que je suis ici. Je n'en reviens pas... j'ai comme la sensation que tout ce que je fantasmais dans ma vie d'avant, que ce que je rêvais d'être, est en train tout simplement de se réaliser.

Ce me fait peur ... Mais en même temps je suis heureux ! Oui je le suis.
J'approche d'un petit coin qui me semble tranquille. Cependant, je remarque qu'il y a quand même du monde.
Petit à petit, je ne sais pas pourquoi mais je sens mon coeur qui s'emballe ! En effet, totalement au hasard mon regard à croisé la présence d'une Dame. En particulier à ses pieds ornées de bijoux, de bagues aux orteils.
Mais rapidement je comprends ! Oui ce ne peut être qu'elle... je frisonne... dans ma tête je repasse ce que j'ai vécu avec elle. La crainte l'abandon, l'oublie... La véneration...la toute puissance !

Je ne comprends pas... Je m'approche, lentement, mon coeur bat de plus en plus fort... Je constate qu'elle dort. A coté il y a ses chaussures. Et moi, moi, guidé par mon instinct, je me suis prosterné au niveau de ses pieds... Qu'importe les regards, il s'agit de Goddess !

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Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Légèrement assoupie, je ne saurai dire ce qui m'a réveillée à cet instant précis : l'ombre qui m'a caché le soleil, sa respiration  sa prosternation ou simplement le fait que je le sentais proche de moi.
Mes yeux papillonnèrent et je me réveillais doucement, sentant bien que je n'étais plus seule. Je relevais la tète, tentant de voir qui était à mes côtés, remarquant bien que tout le monde regardait dans ma direction.
Mes yeux avaient du mal à croire ce qu'il voyaient au travers des écrans fumés de mes lunettes, aussi relevais-je celles-ci au dessus de ma tète, non je ne rêvais pas : c'était bien Jairo que j'avais croisé lors de mon premier passage sur l'ile.

Enfin "croisé" nous avions fait plus que ça : il était l'homme idéal pour une femme comme moi : soumis, docile, obéissant et me faisant sentir supérieure comme j'aimais me sentir.
Tellement concentré qu'il n'avait sans doute pas vu que je m'étais relevée.

Du bout des orteils du pied droit je frappais doucement le sommet de sa tète, jusqu'à ce qu'il la relève et que nos regards se croisent.

— Embrasse !

Je le regardais avec mon air méprisant habituel, en verité, j'aurai pu me jeter à son cou, tant il m'avait manqué ... Enfin ... Surtout nos pratiques. J'avais eu plein d'amants soumis et des amantes aussi, mais aucun, ni aucunes n'avaient été aussi loin que Jairo.
Je nous revoyais encore dans cette cave ou je lui avais ordonné de sucer un sexe tendu passant par le glory hole en échange de quoi il pourrait me lécher les pieds et il l'avait fait. J'avais un orgueil infini, mais jamais je n'aurai cru un homme capable de braver son hétérosexualité pour moi, il avait fini au sol tremblant et j'avais joué mon rôle de maîtresse conciliante et il avait pu avoir sa récompense.
Cela m'avait terriblement excitée.

— Tu m'avais manqué ...

Dis-je attendant qu'il me regarde.

— Petite salope !

Ajoutais-je pour ne pas que ça fasse trop mélodramatique. J'avais conscience que des regards curieux nous observaient, pas vraiment surpris, ce genre de choses devaient avoir cours sur cette ile, même si je me doutais que c'était rare de voir cela en pleine nature, mais je m'en fichais, pire, être observée m'excitais.

— Aller viens t'asseoir prêt de moi ...

Les jambes en tailleur, prenant soin de laisser un joli spectacle à mon vis-à-vis tel qu'il les aimaient. Jairo était fétichiste, une pratique que j'avais découvert lors de mon premier passage et j'avais énormément apprécié, c'était nouveau pour moi, mais depuis je m'y étais donné à cœur joie, ce qui m'avait permi de constater que c'était ujne pratique beaucoup plus rependue que je ne le croyais.
Jairo n'allait pas perdre une miette de mes pieds, j'y veillerai, j'aimais le savoir excité, c'était bon pour ma libido, mais surtout pour mon égo, quant à lui, il aurait bien l'occasion de me montrer son respect, la journée ne faisait que commencer après tout.

— Alors, dis-moi ... Qu'as tu fais de beau pendant mon absence ?

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Je ne bouge pas et j'attends. Mon cœur bat vite et fort, mais je sens aussi un sentiment de bien être et de plénitude. Un bonheur. Un quelque chose que je ne sais pas décrire. Mais que j'apprécie. Mon regard fixe le sol, jusqu'au moment oú je sens sur mon crâne le contact des orteils ... Mon regard croise alors le siens. Rien n'a changé. Le charisme, la supériorité ... que suis-je face à cette autorité, cette grandeur ... Je me moque du regard des gens.

Je m'exécute lorsqu'elle ordonne d'embrasser. Mes lèvres viennent alors avec dévotion baiser le pied de la Goddess.
Mon regard fixe alors une des bagues qu'elle porte aux orteils. Je rougis. Elle me dit que je lui ai manqué. Cela me touche. Je la regarde alors, et je rebaisse la tête suite à l'insulte.

— Vous aussi ... Goddess, reponds-je ensuite, en revoyant la scène dans la cave, et ce que j'avais fait pour elle, pour pouvoir embrasser et adorer ses pieds.
Elle me demande alors de prendre place.

Je m'installe alors en tailleur. Et yeux ne cessent de passer de son regard à ses pieds, chaques mouvements, chaques orteils qui bougent, ou le moindre geste de sa cheville m'excitent terriblement ! La cage de chasteté me le fait savoir rapidement.

Je ravale ma salive et elle me demande ce que j'ai fait pendant tout ce temps ![/color]

[color=#333300]— Je fais ma vie ici, je suis toujours au service de Madame Boronov, et j'apprends à m'assumer pour ce que je suis, acceptant ma condition de soumis. Je ... après notre dernière rencontre j'ai beaucoup appris, et j'ai commencé à devenir une soubrette ... Je dois avouer que j'aime beaucoup ca.

Avouais-je en venant inconsciemment glisser ma main au niveau de mon pantalon comme pour essayer de replacer ma cage de chasteté.

— Et vous Goddess ?

(c) oxymort

Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Cela me touche que je lui ai manqué, même si je le savais très bien. Erin Perry est une déesse, tout le monde l'adore ou la jalouse.
Je remarquais bien ou son regard se posait, j'avais appris à apprécier cela de plusieurs partenaires, mais aucun n'avait eu la dévotion de Jairo et, évidemment, je jouais beaucoup de la position de mes pieds l'air de rien, juste pour l'exciter.

Jairo s'installait mal à l'aise alors même que je me demandais s'il était toujours affublé de cette cage de chasteté. J'avais vu Tricia en arrivant et je savais donc qu'il était toujours à son service.
J'écoutais patiemment son récit et visiblement, Tricia n'avait pas chômé : elle en avait fait une soubrette, respect total ! Sacrée coquine la Tricia !

Je souriais, passant doucement mes doigts entre mes orteils. Je savais que Jairo ne perdait pas une miette du spectacle et cela me plaisais énormément, mais je devais rester dans mon rôle de dominatrice. Ma main vint agripper gentiment l'épaule de mon interlocuteur pour le poser près de moi comme deux copains bourrés, mais ce geste en apparence amical servait surtout à approcher mes lèvres de son oreille.

— Et elle te fait aussi sucer des bites ? N'oublie jamais que je suis la première à t'avoir fais découvrir ce plaisir interdit.

Les gens regardaient dans notre direction depuis quelques secondes, mais commençaient à passer leur chemin, sans doute déçu qu'il n'y ait pas eu plus qu'un simple bisou.
Ma main glissait à l'arrière du short de Jairo le forçant à relever un peu les fesse, mon majeur vint frotter le bord de sa cavité anale.

— Je suis sure que Tricia t'as bien défoncé le cul elle aussi, mais mes doigts t'ont manqué hein ?

Je lui fis un bisou sur la joue avant de mordiller son oreille, j'avais capté l'attention de quelques personnes, Jairo l'avait surement remarqué aussi sauf si son regard était trop obnubilé par mes membres inférieurs bien entendu.

— Penche-toi ! A quatre patte !

Ordonnais-je, tandis que mon autre main faisait sauter le bouton de son short et ouvrait la tirette devant les quelques regards qui se posaient sur nous et que ma première main vint lui doigter l'anus.

— Aller, dis-le que t'aime ça petite salope !

J'avais parlé fort pour que l'on m'entende. Je voulais qu'ils nous regardent qu'ils réalisent à quel point Jairo m'était docile et dévoué.
Mes lèvres s'approchaient doucement, le plus proche possible de l'oreille de mon soumis.

— Je ne t'ai jamais défoncé au gode ceinture il me semble et j'en ai justement un énorme dans mes bagages ... Ca te dis de venir dans ma chambre ? A moins que tu ne prefère que je continue à t'exhiber devant tout le monde ... Ou alors ... On pourrais aller au Lux ...

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Dans le fond, c'est vraiment une joie de la revoir. Les émotions que j'ai vécu avec elle furent intenses, éffrayants, mais j'avais pris avec du recul une joie immense. Un tourbillon fou que je ne suis pas prêt d'oublier.
Et quel sentiment ai-je ressenti la voyant ici, allongée, divine, la Goddess !

Pendant que je lui raconte ce que j'ai fait, mes yeux louchent sur le mouvement de ses pieds, de ses mains qui passent entre les orteils. Elle se rapproche alors de moi, posant une de ses mains sur mon épaule, que va-t-elle faire ?
Ce qu'elle me dit me fait frissonner. Oui, elle a raison, avec les glory hole, je l'ai fait pour son honneur pour ne pas qu'elle le fasse, et surtout pour avoir ensuite le privilège d'adorer ses chaussures et ses pieds.

—Oui, et oui, jamais je pourrai vous remercier pour m'avoir fait faire cela !

Répondais-je en sentant l'une de ses mains glisser dans mon short afin de titiller mon anus avec une remarque qui me fit transpirer.

Je me mis à quatre pattes, docile et soumis à la Déesse, cette dernière parle fort, et doit sans doute attirer l'attention. Mais je ne bronche. Je ne peux pas.
De son autre main elle vient tirer la braguette. Je soupir en sentant son doigt jouer avec mon anus. Je soupir, et je rougis.

— Oui oui oh oui Goddess, j'aime ca

lancais-je avec douleur lancinante dans le bas ventre. Ensuite elle parle d'un énorme gode... Depuis j'adore cela.

— Ce serait un honneur oh Goddess

Continuais-je alors pour qu'elle poursuive à m'exciter ave son doigt !

Oû aller ? Je ne sais pas. Elle est toute puissante !

— Qu'importe ... peut-être au lux ?

Dis je en matant les chaussures qui trainent là sous mes yeux, et grisé par l'effet du doigts je penche ma tête et commence à en lécher une !

(c) oxymort

Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Pauvre petit Jairo, complétement perturbé par ce qui était en train de se passer maintenant : sous le regard de plusieurs personnes il était en train de se faire doigter le cul et semblait adorer cela, à tel point qu'il commençait à lécher mes chaussures.
Une pitoyable larve prête à lécher la semelle de mes pompes juste parce que mon pied les avaient touchées. J'en étais super excitée, ce type était le soumis ultime, j'aurai pu vivre avec juste pour le plaisir de le dominer jour après jour.
Sous le coup j'enfonçais un deuxième doigt et lui envoyais une première fessée.

— Est-ce que je t'ai dis que tu pouvais lécher mes chaussures !?

Je posais mon pied droit sur la chaussure incriminée, mon gros orteil en évidence.

— Lèche salope ... Non, en fait ... Suce ! ... Montre moi comme tu es une bonne suceuse !

Bien entendu j'avais encore parler fort pour attirer l'attention et cela n'avait pas raté. Certaines personnes se rapprochaient. Je pouvais voir d'un coin de l'œil, un homme commençait à se masturber à travers sa poche, sans doute voulait-il que ce soit discret ? Peu importe ! Qu'il se fasse plaisir !

D'une main ferme j'attrapais son short et le glissait jusqu'à ses genoux, me posant derrière lui, enfonçant trois doigts dans son anus cette fois, tout en prenant une position accroupie.

— La tu peux lécher les chaussures !

Une main lui doigtant l'anus, l'autre attrapant fermement sa hanches je mimais des vas-et-viens avec mon bassin tout en enfonçant mes doigts à chaque coup.

— Tu aimes ça hein ?

L'homme avait renoncé à l'anonymat et commençait à se palucher publiquement sans aucune gêne. De toute manière nous étions sur une pile pour ça alors ou était le mal. Il n'était d'ailleurs pas le seul : d'autres avaient commencé à faire pareil.

Décidemment Jairo était un soumis chanceux : deux maîtresse magnifiques pour s'occuper de lui : Tricia était une déesse au même titre que moi, même si, objectivement, je restais la plus jolie.
Dommage qu'elle ne puisse nous voir actuellement d'ailleurs, je suis sure qu'elle aurait adoré ...

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Je suis grisé, avec un seul doigt, voilà qu'elle me maîtrise, je rougis, et j'en redemande. En même temps, voilà que je lèche l'une des chaussures, et je sens alors un second doigt s'introduire en moi, me faisant un pousser un gémissement.
La fessée que je pris me fit pousser un cri, elle posa son pied sur le soulier. Oh oui, elle ne m'a pas autorisé, mais ... mes lèvres attrape l'orteil, et je le suce ... oui je le suce ... elle parle fort ... je m'en moque, je suis concentré sur mon plaisir, je suis à fond, pour vivre cela il faut l'accepter, s'accepter, briser des barrières.

— Mhmmm mhmmm oui Goddess mhmmm je suis une bonne suceuse, murmurrais-je d'une voix audible par elle seule alors qu'au milieu je pousse des soupirs d'aises.

Quand elle fait glisser mon short, je ressens m'air frapper mes bourses, et la cage qui s'agite. Voilà un troisième doigts.
Je soupir plus fort encore, le cri s'échappant de ma gorge est bruyant et a du attirer l'attention, mais cela je n'y pense pas. Je plisse les yeux.

Je sens sa main sur ma hanche. Je sens ses doigts en moi, elle m'ordonne de lécher les chaussures, enivrer je le fais, je lèche les semelles, les talons, en sentant en moi l'excitation ... vais-je jouir ? Je frissonne, je soupir de plus en plus fort et de plus en plus bruyamment.

— oh oui Goddess.... oui ouiiiiiii ohhhh ouiiiii ouiiiii ...

Lachais-je avant un premier râle, avant la jouissance, avant qu'un trait de semence ne s'écoule d'un coup sec ... que se passe-t-il ? Que c'est bon ...

— Pitié ouiiii, là ouiiii pitié Goddess ... oh goddess ...

(c) oxymort

Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Il en faisait clairement des caisses et plus il en faisait, plus je prenais plaisir à ce que j'étais en train de faire. J'avais retrouvé mon Jairo, mon objet sexuel, mon jouet de plaisir et je le regardais me sucer l'orteil en se traitant de suceuse ce qui eut pour effet d'étirer mes lèvres en un sourire satisfait.

Les gens nous observaient et que devaient-ils penser ? Surement pas grand chose de très positif envers Jairo, étaient-ils mal à l'aise ? Honteux pour lui ? En tout cas ils l'observaient avec une certaines fascination, certains étaient peut-être tentée de venir à sa place, mais n'osaient pas par crainte du public.
C'est pour cela que j'aimais tellement Jairo : il vivait ses fantasmes à fond en faisant fi de l'avis des autres. Cet homme avait sucé un autre homme pour moi, pouvait-il y avoir plus grande preuve d'amour ? Il m'idolâtrait, moi la déesse et j'en étais satisfaite. Je doutais un jour de trouver un esclave aussi obéissant, aussi soumis, aussi accroc à moi un jour, mais l'espoir fait vivre après tout.
Tricia était une sacrée chanceuse, j'étais un peu jalouse, mais tout cela je ne le dirai jamais à Jairo, ce serait reconnaître une certaine faiblesse et une Maîtresse n'a pas de faiblesses, une Maîtresse domine et met à genoux.

Je me donnais à fond pour faire des vas et viens de mes doigts dans son anus pour que tout le monde puise observer ce qu'il se passe quand Erin écrase et domine. Je suis une déesse bordel de merde et tous les voyeurs qui s'excitaient sur la situation ne m'arrivaient pas à la cheville, Jairo avait droit à ce traitement de faveur parce qu'il avait détruit toute fierté en lui au profit de MA propre personne.
Lequel de ces voyeurs aurait sucé un autre homme JUSTE pour pouvoir me sucer les orteils ? Lequel l'aurait fait et m'aurait confié son cul au su et à la vue de n'importe quel passants ? Aucune d'entre eux ! Ils avaient l'air ridicules a tenter de se masturber discrètement alors que la seule raison pour laquelle personne ne l'avait remarqué c'est qu'ils étaient attirés par ma personne comme des papillons attirés par ma lumière divine.

Tout à coup Jairo se mit à gémir, tremblant à quatre pattes, son anus se contractant sur mes doigts et ses coups de langues se faisant plus lents sur ma chaussure. Je comprenais très bien ce qu'il se passait, mais la réalité me frappait en même temps que je sentais un liquide gélatineux couler sur ma cuisse.

J'éclatais de rire.

— Seulement trois minutes ? Tu es éjaculateur précoce en plus ?

Je ne pu m'empêcher de rire encore plus fort, d'un rire sincère. Par parce que la situation me faisait rire, mais parce que j'étais heureuse. Jairo était vraiment le soumis ultime, s'il n'y avait pas Tricia dans sa vie je l'aurai pris à mon service et il m'aurait nettoyer les pieds jusqu'à ce que sa langue en devienne râpeuse.

Je me levais et attrapait ses cheveux avec autorité, le forçant à se redresser sur ses genoux, le short encore baissé, la cage humide de son foutre

— Tu as déçu nos spectateurs, j'espère que tu as honte de toi !

Bien sûr je m'en fichais de ce que ressentait ces gens, ce n'étaient que des visages sans nom, des figurants dans la vie de Erin Perry, la véritable star de l'existence, si la vie était un film, j'en serai la vedette après tout.
Je tournais autour de Jairo et le regardait droit dans les yeux. Mon regard était méprisant, colérique, mais en vérité, au fond de moi, j'étais très excitée.

— Ouvre la bouche !

J'attendais qu'il s'exécute et lui crachait entre les lèvres.

— Dis "merci" à ta maître ...

Je m'interrompais en ayant aperçu quelque chose : ce n'était pas que sur ma cuisse que Jairo venait de jouir : il avait tâché ma robe.
Ce fut un reflexe inattendu de ma part quand mon pied parti directement dans ses valseuses, c'était tellement instinctif que je ne sentais même pas la douleur de la cage de chasteté heurtant le dos de mon pied en moment ou je venais de lui frapper dans les boules.

— Ca c'était pour ma robe !

Mais je n'en restais pas la, attendant qu'il aie finit de se rouler de douleur, je tendais l'endroit souillé devant son visage.

— Nettoie !

Oh oui, décidemment, ces vacances allaient s'avérer TRES intéressante ...

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Ma bouche est grande ouverte. J'ai joui. Quel plaisir. Je soupir d'aise, les yeux vitreux et plein d'envie. Je n'ai même plus peur des regards. Pas ici. Pas sur cet île.
Ici, je suis moi, je suis ce que je veux être... loin de toute la société et de ses conventions. Je donne un coup de langue à la chaussure. Puis un autre. Et un autre. Je prie pour qu'elle poursuive.

Mais c'est son rire qui raisonne dans ma tête. Ce rire qui humilie, qui rabaisse, elle m'attrape par les cheveux pour m'obliger à me mettre à genoux. Elle me rabaisse, et elle rit plus fort encore, elle mentionne les gens... Je la contemple d'en bas. Les yeux brillants et le visage en sueur. Le corps tremblant, je ne dis rien, je reprends mon souffle.

Elle tourne autour de moi. Le regard méprisant. Les gens autour ne pouvait que constater sa toute puissance sur moi.
Vaguement je remarque un homme qui se caresse. J'ouvre la bouche. Elle me crache dedans. Un peu sur le visage aussi. A cet instant je baisse les yeux.

— Merci Goddess ...

soufflé-je avant de hurler de douleur, elle venait de frapper mon membre sans retenu. Je me roule au sol en gémissant, en pleurant pratiquement tant la douleur est intense.
Je tremble. Mes mains viennent serrer mon sexe, je souffle fort, sans le savoir une larme coule lorsque je me remets doucement sur mes genoux.

Sous mes yeux, elle me montre l'endroit que j'ai souillé et m'ordonne de lécher. Je fixe ma semence. Je revale ma salive.
Je m'approche, et d'une langue hésitante je me mets à nettoyer avec ma langue. Au moins la douleur s'apaise, même si je fais une grimace désormais. Les mains le long du corps...
Les gens autour, je m'en fiche.

Soudain, j'entends l'un d'eux, un jeune homme, tout maigrichon, qui tout tremblant demande à la Goddess si elle peut lui frapper les bourses...
Celui qui se caressait ne se cachait plus non plus...

Quant à moi, je continuais de lécher. Oh Goddess ! Lorsque j'eu fini, je lève la tête et la regarde avec vénération, quel charisme !

(c) oxymort

Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Je le savais ...

Jairo était réellement le soumis ultime, même après que je lui ai envoyé mon pied dans les parties, il était encore au garde à vous pour lécher sa propre semence sur ma robe.
Des soumis, il y en a plein, mais la plupart sente ce côté soumis s'évaporer en même temps qu'ils ont joui, pas Jairo, lui il restait constamment dans ce mode la, à tel point que malgré la douleur qui devait irradier son bas ventre il voulait quand même me faire plaisir.
J'aurai vraiment pu épouser un tel homme qui me faisait sentir heureuse par la domination.
Bon ... Ok, en vérité je suis contre le mariage et je doutais que Tricia m'y aurait autorisé, mais il devait être plaisant d'avoir à ses côtés un homme qui vous mettait sur un piédestal aussi glorieux.

Et la, surprise, un homme de l'assistance décidait de se joindre à nous : pas bien épais, il n'avait jamais du voir une salle de muscu de son existence sauf en photo. Il avait le sexe tendu, tremblant, visiblement le spectacle l'avait beaucoup excité. Mon attitude dominante lui avait, semble-t-il plu et il avait affronté sa peur pour venir me demander de, lui aussi, lui "casser les couilles" au sens propre du terme.

— Tu ne bouge pas !

Ordonnais-je à Jairo, sachant très bien que ce n'était pas la peine : il ferait tout ce que je lui dirais de faire, sauf, éventuellement si Tricia lui donnait un ordre contraire.
Mon regard braqué sur le maigrichon, je poussais une chaussure vers Jairo.

— Lèche, le temps que je termine avec monsieur ...

Un autre homme avait commencé à s'avancer, un autre derrière lui et encore un autre, tous en train d'astiquer leurs sexes tendus, certains bien membré d'autres non. L'ont aurait du une scène d'action dans un épisode de The Walking Dead, tant ils émergeait de derrière les arbres pour mieux voir, sans doute certains obsédés par l'idée simple de : "est-ce qu'on nous aussi on peut être dominé par la Goddess ?"
Que ce soit cela ou non, mon égo était au centre de l'attention et j'adorais cela.

— Baisse ton pantalon !

Je le regardais s'exécuter, observant Jairo à côté de moi en train de lécher ma chaussure avec enthousiasme.
L'idée d'obliger "Maigrichon" à donner son cul pour mériter que je lui explose les parties me vint, mais j'y renonçais, non pas maintenant, pas tout de suite.
J'avais d'autres projet en tète.

Je posais mon pied droit devant Jairo, regardant un instant mon soumis avec un certain intérêt.

— Embrasse pour que mon geste ait plus d'impact !

Faux, cela ne changerait rien, mais je savais qu'il serait excité de le faire. J'avais la sensation d'être dans un genre de culte religieux et de m'apprêter à introniser un nouveau membre comme l'adoubement chez les Francs-maçons.
Mon pied parti dans un véritable penalty de football entre les baloches nues de "Maigrichon" qui me surprenait en restant debout bien que ses genoux cagneux commençaient à trembler. Il perdait un peu l'équilibre, mais arrivait malgré tout à rester debout, j'étais impressionnée.

Un petit gémissement aigu se fit entendre derrière : un quarantenaire dégarni dans une Queishua beige et une chemise sans marques à carreau se mit à jouir abondement, si excité qu'il en mettait sur sa propre braguette et ses testicules qui semblaient presque plus grosses que son pénis.
Je regardais "Maigrichon" et Jairo a tour de rôle.

— Messieurs, celui qui le nettoiera avec la langue le plus rapidement, aura le droit à des attentions toute particulières de ma part ...

Hélas, ils n'en eurent pas le temps : l'homme m'avait entendu, mais visiblement n'étant pas joueur, il se mit à courir, le jeans encore ouvert et je pouvais voir valser les filaments de semence encore collés de son sexe poisseux à la tirette de son pantalon.

— Dommage ... Heureusement il en reste d'autres : sucer donc chacun un mec, le premier qui fait jouir le sien gagnera mes faveurs ... Maintenant !

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

La situation devenait dingue. Cet homme venait de braver sa fierté pour réaliser un fantasme. Qu'importe ce qu'il était, il s'est approché et a parlé. Oui il a parlé, excité par ce qu'il venait de voir, par le pied de la Dame venant frapper mon membre.
Il a eu raison, pensais-je alors. Pourquoi devrait-il s'interdire de vivre son souhait ? L'ambiance devient intense. Il tremble. Non, ils tremblent tous.

Ceux qui partent sont seulement ceux qui ne sont pas soumis, ou des peureux, l'assistance s'est vidée, mais il en reste encore.
La Goddess me dit de ne pas bouger ! Je ne bouge pas, elle dirige devant son autre chaussure, elle m'autorise à la lécher. Mes mains s'en emparent, je la fixe des yeux, et je ne m'occupe plus de rien, je lèche la semelle, les flancs l'intérieur et le talon.

Je m'y abandonne. Je crois que je suis bon pour qu'on m'enferme, pensais-je en rapport à mon état. Ma langue glisse sur la semelle.
Soudain, le pied de la Goddess se présente à moi, avant de frapper elle exige que je l'embrasse pour donner de l'impact au coup qu'elle compte prodiguer. Je m'affaisse alors et mes lèvres viennent avec dévotion y déposer un baiser. Un songe.

Le coup part. Il tient bon, il grimace, mais ne tombe pas, comme s'il voulait permettre à la Goddess de jouer encore. Il vacille quand même mais l'attention se porte sur un autre homme dont le râle exprime la jouissance, et en effet il a joui.
La Goddess nous ordonne alors au Maigrichon et à moi d'aller le nettoyer, mais l'homme flippe et se tape un sprinte pour fuir.

Je soupir. Mais voilà qu'elle nous lance un défi. Son ton ne souffre d'aucune contestation, le jeu est lancé, le "maintenant" sorti de ses lèvres donne le départ, mais voilà...

"Maigrichon" a vite attaqué, il est à genoux, les mains autour de la taille d'un homme corpulent qui commence à gémir, mais qui semble ne pas vouloir, pourtant il finit par se laisser sucer. Goddess a parlé. Bien sûr je l'ai déjà fait, mais c'est quelque chose que je redoute toujours.

Quant a moi, j'en vois qui filent, je tiens la chaussure dans mes mains. Je remarque alors une personne a moitié caché derrière un buisson, il hésite, il me regarde, je cours vers lui, il se démasque, élancé et musclé je m'agenouille et voila que je commence. Pour la Goddess ... Cependant Maigrichon a commencé avant, j'entends que sa soupir fort. Moi je m'excite, je l'ai dans ma bouche, mes lèvres glissent, ma bave recouvre, le membre dur, je ravale ma salive trop tard, l'autre pousse un râle ... Mais honteux de la chose bouscule Maigrichon et décide de partir.

Toutefois, le miens joui peu après, et il gicle sur l'herbe en tremblant, mais heureux ... Je tourne mes yeux vers la Goddess, et son air impérial, qu'elle est belle.
L'homme me demande s'il peut lui parler, s'il pourrait lui aussi se faire dominer.
Je me contente de lui dire d'écouter ses désirs ... Il frissonne, et décide de partir en courant

Cachés, des regards pouvaient contempler une scène incroyable de cette dominatrice et de deux hommes qu'elle tient dans le creux de ses mains ...
Maigrichon panique, je me demande ce qu'il ressent, je crois deviner. Oui, il se rend compte de son geste, il vient de comprendre qu'il a brisé des barrières, il souffle, j'ai l'impression qu'il pleure, qu'il est dans le même état que moi lorsqu'ai du sucer pour elle.
Il vient de comprendre, d'abdiquer, non, il a accepté, accepté ce qu'il aime en succombant au charisme de la Déesse.
Il pleure en s'approchant d'elle et de tomber à genoux.

Je me dirige vers eux ... Tête basse ...

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E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Les bras croisés, j'observais mes deux soumis se mettre au travail "Maigrichon" semblait beaucoup trop enthousiaste, tremblant de tous ses membres, mais se mettant à la tâche, sans aucun doute, tellement excité qu'il a "appuyé" sur le switch dans sa tète pour s'y mettre, comme Jairo la première fois.
Je souriais ... Mon arrogance était largement satisfaite ...

Jairo était en retard, pas facile de trouver un homme quand les hétérosexuels autour de nous avaient décidé de fuir. C'était marrant car dans d'autres circonstances, si j'avais été la seule femme sur l'île il auraient sorti leur queue avec enthousiasme et se seraient fait sucer en me regardant pour que leur imagination oublie très fort que c'était un homme en train de les vider et de m'imaginer moi à leur place.
Mais je ne le serais pas, je ne le serais jamais, seul un vrai mec aura droit de profiter de mes lèvres.

"Maigrichon" remportait le match de peu, il devait avoir un sacré coup de langue. Je le voyais trembler, sans doute réalisait-il maintenant ce qu'il venait de faire, comme Jairo auparavant.
Jairo, quant à lui fit jouir sa cible quelques secondes après et quel gâchis de voir cette semence atterrir mollement sur l'herbe plutôt que sur sa bouche.
L'homme, encore tremblant semblait intéressé à l'idée de me servir.
Wow wow wow, trois soumis ça allait faire beaucoup, même pour moi, mais mon égo en était totalement flatté, hélas, le dernier se dégonflait et filait en courant ce qui me fit éclaté d'un rire cristallin.

— Oh aller ...

Hurlais-je

— T'étais moins prude avec ta queue dans la bouche d'un autre homme !

Il m'avait surement entendue, puisqu'il accélérait encore.

— Tu as du soucis à te faire ...

Dis-je en m'adressant à Jairo

— Voila un homme tellement soumis qu'il n'a pas hésité à prendre un autre homme en bouche, peut-être devrais-je changer de favori ...

Techniquement, je disais vrai, mais Jairo et moi avions vécu beaucoup trop de choses pour cela. J'adorais Jairo et la manière dont il me faisait sentir supérieure, mais un peu de compétition entre soumis ne faisait pas de mal.
Pour accentuer la jalousie de mon lécheur de pieds préféré, j'attrapais le sexe tendu de "Maigrichon" entre mes doigts et entamait une masturbation vigoureuse : un honneur de ma part.

— Alors "Maigrichon" ça valait le coup de sucer une bonne grosse bite de mâle hein ?

Il se mit à baisser les yeux, je pouvais le sentir ramollir un peu, sans doute prenait-il conscience à nouveau de ce qu'il venait de faire, alors il fallait le ramener à la réalité.
La gifle claquait dans le silence de la matinée, sa queue se remit à durcir d'un coup, excité par ma domination.

— Na t'avise plus jamais de ramollir entre les doigts d'une déesse et je veux que tu me regardes !

Mon regard en revanche ne le regardait plus lui, mon regard se plantait dans celui de Jairo, tout en masturbant vigoureusement le sexe dans mes mains

— Jairo, à genoux !

un sourire mauvais naissait sur mes lèvres et je fis un clin d'œil à mon véritable favori. Jairo, si soumis, si obéissant, si ... Docile ...
Techniquement il avait perdu alors il aurait sa punition.
Mon pied parti directement dans ses testicules, bien moins fort que la première fois, un petit coup rapide, suivi de plusieurs autres de plus en plus fort.
Entre mes doigts, "Maigrichon" tremblait, j'entendais sa respiration s'accélérer, il allait jouir ...
Mon genou finissait dans ses parties et il reculait de deux pas, son sexe lâchant pitoyablement sa semence en partie sur ma serviette, en partie sur mon pied.

— Nettoyez ça tous les deux et avec vos langues ... et surtout, n'ayez pas peur de vous toucher ...

J'affichais un sourire de démon, "Maigrichon" voulait m'obéir ? très bien, mais il allait avoir un cours accélérer, quant à Jairo il en aurait pour son argent.

— Après cela j'irai me changer et on se retrouvera au Lux, Jairo tu auras une occasion de te rattraper, "Maigrichon" tu as intérêt à être prêt à tout parce qu'obéir à la Goddess, ça se mérite ...

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J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Maigrichon me permettait de me rassurer, ainsi je ne suis pas seul dans cet état d'ésprit. Il tremble, il pleure, comme moi avec les glory hall, quand, couché au sol je pleurais, me rendant compte de mon geste, de ma récompense et des limites que j'ai dépassées pour elle.
Il venait de le faire aussi. Dans son regard cela se voyait, se mélange d'effroi et de satisfaction. Oui, il voit en elle un être supérieur, une dominante. Et lui, il a conscience que devant elle, il n'est rien. Comme moi.

La Goddess me dit que j'ai du soucis à me faire. Mon coeur s'emballe alors, oui il a gagné, et un vértige me prend en voyant la main de la Dame s'emparer du sexe du soumis en le masturbant.
Il baisse les yeux. Moi j'ai honte, je l'envie. Il reçoit une gifle qui fait frétiller son sexe.
Puis elle me parle ! Nos regards se croisent. Elle m'ordonne de me mettre à genoux. Le regard, son regard est puissant, j'admire sa grandeur, et j'adore ce que je suis, j'adore avoir dépassé les barrière, ainsi, je me suis mis à genoux.
Son clin d'oeil, je n'ai pas su le déchiffrer, peut être me montre-t-elle sa satisfaction.

Maigrichon soupirait, il exprimait rapidement son plaisir et ses peurs. Ce fut à ce moment, que je reçus ma punition pour avoir perdu.
Le pied de la Déesse dans mes bourses, mais je ne veux pas flancher, je pousse un cri, je me cambre un leu mais me redresse ! Comme l'avait fait Maigrichon, et elle frappa encore, je souffle un buffle je suis rouge mais je veux pas m'écrouler... Par fiérté, mais pour ne pas décevoir la Déesse.

Cependant alors que je tremble comme une feuille avant un prochain coup, le nouveau soumis fut victime d'un coup de genoux dans les tésticules au moment oû il allait jouir.
En reculant sa semence coule partout sur la serviette... La Déesse nous ordonne de néttoyer avec nos langues...Déja à genoux, je veux me racheter, malgré la douleur, je me lance au sol, sur une goutte proche du pied de la Déesse. Maigrichon hésite, mais l'intervention de celle qui sera pour lui obsession le fait s'exécuter.
Nous sommes tous les deux au sol, tremblant nous remettant de la douleurs. Maigrichon a des hauts le coeur, mais il affirme qu'il sera prêt à tout.
Il s'excite, et commence à lécher la semence là où j'ai commencé, non loin d'une chaussure.

— Oui Goddess.

Dis-je en poussant l'autre soumis.

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E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Plus tard ...

Retour au Lux, ce fameux endroit qui m'avait tellement peur lors de ma première visite. Je me sentais bien stupide maintenant. A l'époque, j'avais crains de finir esclave à vouloir trop me noyer dans ma propre autosatisfaction, je me rendais compte aujourd'hui que c'était la découverte qui me faisait réellement peur et l'endroit n'avait riend e particulièrement impressionnant au final.
Il y avait des esclaves disponibles, de toutes les sortes, y compris une transsexuelle qui semblait vouloir reste discrète, elle n'était sans doute pas trop accrochée à l'idée de bosser ici. Peu importe, ce n'était pas pour elle que j'étais la.

J'avais décidé de porter une véritable tenue de dominatrice, comme une super héroïne revêt son costume de justicière, j'avais enfilé la tenue de la Goddess : une combinaison en latex noir, décolletée au maximum, suffisamment pour que je puisse sortir mes seins en cas de besoin. En raison des fantasmes habituels de Jairo, j'avais décidé de me jucher sur des escarpins rouges à talons hauts, fermés pour le frustrer un petit peu, s'il voulait mes orteils il allait devoir les mériter.
Lui ... Ou l'autre ...

Jambes croisées, assise à un tabouret, j'observais la salle en souriant. Des regards s'étaient déjà posés sur moi et j'avais refoulé deux personnes qui me prenaient pour une gagneuse dominatrice, ai-je tant que ça l'air d'une pute ?

Mon regard fini par se poser dans l'entrée quand je vis "Maigrichon" arriver, la tète basse, il semblait très excité, mais aussi très inquiet. Jairo n'était pas encore la. D'un claquement de doigt je le fis venir. Il souriait, tentant de prendre un tabouret.

— Non !

De l'index je lui fis signe sur le sol, "Maigrichon" semblait avoir compris, il pliait les genoux et se posait ainsi en me regardant avec une certaine admiration.
Il était la dans son short crème avec ses vieilles tongs et sa chemise bleue ciel à manches courtes.

— Enlève tout ça !

Mon regard se posait sur lui, d'abord hésitant qui retirait ses vêtements et les déposait sur le comptoir. Le barman semblait avoir l'habitude de ce genre de situation et rangeait les fringues derrière le bar.

— On va attendre ton camarade, tant qu'il n'est pas la, on ne commencera pas !

Mon regard se posait sur l'entrée. Je laissais cinq minutes à Jairo pour arriver, après quoi je lui ferai regretter de me faire attendre ...

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J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Que d'émotions, me dis-je, en prenant la direction du lux, d'ailleurs je ne suis plus trés loin. Je repense alors à elle, j'essaye de comprendre ce qu'il se passe. En vain, le sentiment est inexplicable. C'est mon coeur qui parle. C'est lui qui m'a fait oser, qui m'a convaincu, et qui a vaincu la raison. Je l'accepte. Bien sûr que Goddess est supérieure.
Sinon je n'aurais pas pu faire tout cela. La revoir fut fantastique. Elle est irréelle.

Quelle chance. Vivre tout cela ici, jamais je ne l'aurai cru. Etre le domestique d'une milliardaire était déja en soi une réussite, mais là ce sont des fantasmes cachés qui se révelent.
J'ouvre la porte, il y a du monde. Mais ici, l'univers de l'ile fait changer les regards. Mon regard balayent la salle, ce n'est que la seconde fois que je viens ici.

Elle est là. Divine, assise sur un tabouret, une combinaison en latex noir. Impériale. Je me dirige vers elle, et je vois, agenouillé devant elle, Maigrichon.

Il est déja là, nu, avec ce regard que je ne connais que trop bien. Il admire, vénère la Déesse... En m'approchant je constate qu'il s'est placé du coté où Goddess a croisée sa jambe, lui permettant d'avoir la chaussure pratiquement sous ses yeux.

Des beaux escarpins rouges fermés. Mon cœur s'accélère alors. Mon regard croise le sien, j'ai compris. Je ravale ma salive, et me déshabille. Nu, je pose mes deux genoux au sol, et comme Maigrichon, je suis en admiration, qu'importe le monde autour...

Je n'ai plus honte. Autour les gens peuvent contempler l'image d'une Déesse se faisant contempler par deux dévots fanatiques. Deux dévots fanatiques admirant Goddess...

(c) oxymort

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E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Je souriais ...

Un sourire méprisant et arrogant, j'étais totalement dans mon rôle et j'adorais cela, être l'attention de deux soumis qui me voyaient comme une déesse ? J'achète.
Dire que Helga m'avait fait douter de ma vraie nature ? Quelle conne j'avais pu être de renier ma nature de prédatrice, quel pied d'être le centre de l'attention.

Je contemplais les deux, profitant de l'instant. Que faire de deux soumis à mes ordres ? Dans un bar ? La réponse était toute trouvée.
Je me penchais à l'oreille de "Maigrichon"

— Va me chercher une bouteille de Vodka !

Je regardais le mec se lever et se diriger vers le bar, sa queue tendue rien qu'a l'idée de me servir. Je profitais de l'absence de "Maigrichon" pour me pencher vers Jairo.

— J'espère que tu es prêt, parce que ce soir tu vas franchir un nouveau pas ...

Et je ne plaisantais pas, j'espérais seulement qu'il ne finirait pas dans le même état que la dernière fois, mais j'avais tellement envie de franchir un pas avec lui, "Maigrichon" était un petit plus ajouté qui allait m'être utile, j'appréciais de les avoir tous les deux sous mes ordres.

Une fois la Vodka en main, je regardais mon "livreur" et lui fis signe de se mettre à genoux, pliant mon genou pour que mon pied soit au niveau de mon tabouret.

— Enlève ma chaussure !

"Maigrichon retirait l'escarpin sous le yeux de Jairo qui n'en perdait pas une miette. Je posais le goulot contre le dos de mon pied.

— Bois !

Maigrichon commençait donc à ouvrir la bouche et avaler à grande goulée la Vodka coulant sur mes orteils. Une fois terminé, je réclamais une serviette et m'essuyait les orteils. Mon regard passais de maigrichon que je flattais gentiment d'une petite tape sur la tète avant de m'approcher de Jairo.

— Tu veux un peu de Vodka Jairo ?  

Fis-je d'un air faussement gentil.
Mon pied chaussé vint flatter le sexe tendu de "Maigrichon" qui se durcissait encore.

— J'ai une surprise très spéciale pour toi si tu fais ce que je demande ...

Ma main vint pincer le teton de Jairo qui devait être à l'étroit dans sa cage de chasteté, mon pied continuait à faire durcir le sexe de mon autre soumis. Mon regard se fit plus malicieux envers mon favori, après tout, déifier quelqu'un comme moi ça se mérite !

— Mais avant toute chose, montre moi ce que tu sais faire avec ta bouche "Maigrichon" semble en avoir besoin ...

(c) oxymort

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J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Je la regarde. Lui aussi. Il a le même regard que moi. Il ressent la même chose. Ce même coup de foudre, ce même sentiment intense.
Nous chérissons notre infériorité. Nos têtes levés vers elle, on la contemple. Son sourire méprisant nous fascine.

Elle s'adresse à Maigrichon pour lui demander d'aller chercher une bouteille de vodka. Il frisonne, il est heureux, son corps le montre.la nudité ne choque pas, pas ici, ici oû cela semble si naturel. Goddess me met alors en garde. Mon coeur vibre alors. Mais je veux bien faire, avec elle, pour elle j'ai l'impression que je peux aller loin. Même vers des choses qui me font plus que peur.

Je ne dis rien, la bouteille arrive. Elle s'en emparre, et il retombe á genoux. Elle lui ordonne de lui enlever une chaussure. Il rougit, il bande, il balbutie, et pose l'escarpin au sol. Je me sens pris d'un vertige, je fixe la scène, la chaussure magnifique, la courbe du pied divine.
Le liquide coule, Maigrichon transpire, et se met á boire, à lécher avec passion, et moi je regarde avec envie. Il suce le gros orteil, et termine.

Goddess s'essuit le pied, Maigrichon est troublé cela se voit. Surtout lorsqu'une main, elle le flatte comme un chien.

Puis elle caresse son sexe avec son pied chaussé, je frémis.

— Oui Goddess, s'il vous plait

réponds-je en fixant les caresses sur le membre qui s'érige plus que de raison. Je pousse une grimace, mais ne veut pas crier lorsqu'elle pince mon téton, avant de me dire que je devais lui montrer ce que je savais faire avec ma bouche pour soulager Maigrichon. Ainsi j'aurais droit à quelque chose de spécial.
"Maigrichon" me regarde, il hoche la tête. Devant du monde ? Oui mais pour elle. Je pose alors mes mains au sol.

Ensuite avec ma langue, je titille le gland avant de prendre en bouche. La suite ? De langoureux va et viens, une vive chaleur dans ma cervelle et ma langue qui tourne autour du sexe.
Je pousse des soupirs, je vais au bout, je sens le gland heurter le fond de ma gorge. Maigrichon commence á gémir.
Nous transpirons, j'accélére, de plus en plus, j'heurte les bourses, je sens les yeux de Goddess sur nous, Maigrichon crit, se lâche, un dernier coup, un râle.

Mais impossible de fuir cette fois, mon visage est éclaboussé ... je me moque des regards bien que je ressens une espèce d'humiliation. Je ne pleure pas, pas cette fois ... Je suis la catin de Goddess.

(c) oxymort

Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Il n'est rien de plus excitant au monde pour une femme comme moi de voir un homme prêt à se mettre à mon service à un tel point et j'avais la chance d'en avoir deux. Jairo n'était pas seulement soumis à mes ordres, il était capable de repousser même ses propres limites sexuelles, juste pour moi et je m'amusais à frustrer Jairo tout en testant "Maigrichon" qui semblait apprécier le traitement particulier auquel il avait droit. Il m'impressionnait : en seulement quelques heures il avait réussi à passer outre sa fierté pour m'obéir.

J'étais sur l'île pour me reposer et prendre du temps pour moi et voir ces deux hommes capables de tout pour me rendre fière avait tendance à m'exciter. J'appréciais énormément mon nouveau séjour ici en ces lieux.

Comme demandé, Jairo s'était mit en action, j'aurai bien poussé "Maigrichon" à sucer Jairo, mais j'avais la flemme de libérer mon soumis favori de sa cage de chasteté et c'était bien plus drôle aussi.
Mais j'avais prévu quelque chose pour Jairo et il n'était pas au bout de ses surprises.

— Bien, tu as déjà accompli la première étape, mais je ne voulais pas qu'il jouisse ... Pas grave, ,e t'essuie pas !

Les regards étaient multiples autour de nous et je savais très bien ce que ressentaient les deux membres du "Erin Goddess Club"(pas encore sure du nom) : ils étaient honteux et cette honte leur procuraient du plaisir.

— A quatre pattes Jairo, "Maigrichon" ici !

J'attendais patiemment que les deux hommes se mettent en place, "Maigrichon" à ma gauche, tandis que je tendais mon pied à Jairo.

— Lèche !

Ma main saisissait le chibre de "Maigrichon" totalement ramolli après avoir éjaculé sur le visage de ce bon vieux lécheur d'orteils. Je masturbais le soumis numéro 2, le sentant de nouveau durcir entre mes doigts.
Mon regard se posait sur Jairo.

— Jairo, regarde moi .. Et détends-toi ...

Je regardais profondément dans le regard de Jairo, lui souriant, de ce sourire moitié gentil, moitié provoquant et méprisant, avant de lâcher la grosse surprise de ce soir, le défi ultime de Jai, ais s'il l'effectue je lui promettait une surprise qu'il ne regretterait pas.

— "Maigrichon" ...

Laissais-je échapper entre mes lèvres fines, en préambule à ce qui allait suivre, tout en concentrant toujours mon regard sur le soumis à quatre pattes.

— Encule moi cette salope !

J'ignorais si Jairo avait déjà prit dans le cul par un mec et je m'en foutais, ce soir, il donnerait son cul pour moi ...

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Je me sens étourdi, une vive chaleur me montant à la cervelle, et qui me grisait. Goddess m'annonce avoir franchi la premiére étape. Cependant elle ne voulait pas que mon compère jouisse. Cela me gêne. Surtout lorsqu'elle m'ordonne de ne pas m'essuyer le visage alors que j'allais le faire ! Bref, j'ai le coeur qui bat la chamade.
La suite ne tarde pas. Je me mets à quattre pattes, puis selon ses désirs, je lèche son pied avec délice, oubliant tout. Ma langue glisse sur le revers, sur le talon et les orteils sans l'ombre d'une hésitation. Le rêve.

J'entends Maigrichon gémir et soupirer. Je comprends pourquoi lorsque je lève les yeux pour regarder la Dame lorsqu'elle me le demande.
Elle le tient par le membre, et le membre est déja entrain de durcir.
Mon regard est plongé dans le sien. Ce regard si particulier, si puissant qui décrit à la perfection nos places respectives.

Je souffle pour me détendre, je respire, tout en câlinant de ma langue le pied.
Alors que nous nous regardons, elle nomme Maigrichon. Et la suite fut un coup de massue... Quel est cette sensation ? Je ne sais pas. En tout cas j'ai chaud, je tremble. Mon regard est un instant resté figé, puis il s'est baissé.
Oui avec des godes j'avais fait. Mais là ... Je ravale ma salive, ma tête se baisse, comme resigné.
"Maigrichon" aussi semble sous le choc. Pourtant, il se déplace pour se mettre derrière moi ...
Je plisse les yeux ... on va dépasser nos limites. Sous son commandement, comme j'ai pu le faire l'autre fois.

Voilà, je le sens. Je me crispe, mon souffle est fort et rapide, alors dans un mouvement incontrôlable, je suce l'orteil de Goddess, comme pour oublier. Ma langue s'excite alors qu'il entre après un coup plutôt violent qui me fit presque basculer ... Je tremble, j'ai les yeux rougis, presque aux larmes.
Je pousse des soupirs étouffés par le pied dans ma bouche.
Je le sens aller de plus en plus fort, j'ai mal ... vraiment mal ... Pourtant je lève la tête, et je l'admire ...

(c) oxymort

Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

J'observais la situation avec une certaine perversité et, il fallait le dire, une certaine admiration pour Jairo qui allait maintenant se faire mettre par son partenaire pour mon bon plaisir. Tricia apprécierait-elle la situation ? Je l'ignorais et très franchement, sur le coup je m'en fichais, bien que je n'avais aucune envie de me la mettre à dos.
Je profitais de la langue de Jairo en train de s'exciter sur mon pied, comprenant que cet acte était sa bouée de sauvetage alors même que son ami allait lui ôter toute masculinité restante. Un instant, j'eu l'idée de retirer le pied pour qu'il profite pleinement de ce moment, mais des flashs de lui en train de trembler après sa première fellation me revinrent et si j'aimais à être sadique, je pouvais aussi faire preuve de clémence.

Ainsi je regardais doucement Jairo, pas "Maigrichon" lui n'était qu'un bonus, un accessoire pour arriver à mes fins avec Jairo, c'était lui ma star, mon soumis, même s'il était attitré à Tricia, ce que je respectais, ce soir c'était moi la dominante.

— Doucement "Maigrichon" c'est sa première fois, ne soit pas si pressé ...

"Maigrichon" ralentissait le rythme sous mes yeux et sous mes ordres, il était grisant de constater que, quoi que je dise ces deux hommes le feraient, leurs demanderais-je de s'enfoncer une chaise entière dans le rectum qu'ils essayeraient de le faire.

J'observais Jairo, attendant de voir que cela semblait aller, qu'il s'habitue aux assauts de son partenaire avant de lui retirer mon pied, le rechausser et m'accroupir devant lui encore occupé.
Mes yeux cherchaient les siens, ma main se fit douce dans ses cheveux et mon regard gentil.

— Courage mon Jairo, je sais que tu peux le faire pour ta Goddess ...

Mes lèvres vinrent chercher les siennes, un ultime cadeau, ma petite surprise qui reléguaient tous les privilèges de "Maigrichon" au second plan : être branlé par sa maîtresse était un sacré privilège, mais avoir le droit de gouter un de ses baisers était incomparable et je savais très bien la force que cela avait du lui donner.
Mon regard revint à l'état de prédatrice, un regard rapide sur l'autre larron, probablement frustré puisque sa vigueur semblait doublée.

— "Maigrichon" ...

Fis-je d'une voix autoritaire.

— Défonce-moi cette pute et jouis dedans !

Et après nous pourrions passer à la conclusion.

(c) oxymort

Bend the knee

J.Oncero & E.Perry

◊ ◊ ◊

Je respire fort. Très fort. Je lèche et suce frénétiquement le pied de Goddess. Cela me permet de m'évader, de ne pas penser aux coups que me donne Maigrichon. Ma bave recouvre le pied. Je tremble. Je sens les les larmes me monter aux yeux, mais je résiste, je ne veux pas pleurer, pas devant de la Dame. Je dois être fort.
Alors je lèche encore plus vivement.

Goddess demande à Maigrichon d'y aller plus doucement. Je suis tout rouge, et je transpire comme rarement.
Pourtant, il va moins vite, je le sens.
Pendant que je suce un orteil, la Dame retire son pied pour s'accroupir afin de me regarder dans les yeux. Un regard doux, tendre, sa main dans mes cheveux était également agréable.

Je me perds dans son regard. Je souffle fort. J'ai peur, j'ai mal, mais dans ses yeux, je retrouve du courage. Je me pince la lèvre inférieure.
Elle m'adresse la parole pour me dire que je peux le faire, je peux le faire pour elle, pour ma Goddess ! J'halète que j'ai du mal à répondre, mais de la tête je fais oui, oui je vais tenir le choc, et accepter l'humiliation pour son plaisir.

A ma grande surprise, elle dépose ses lèvres sur les miennes ! Je fais des gros yeux en profitant du baiser. Je suis incapable de décrire le sentiment qui me traverse.
Comme une récompense, un baume au cœur. Lorsqu'elle se retire, je me sens mieux, plus fort, je serre les dents.
Son regard a changé ! Il est celui de d'habitude, le regard d'une prédatrice, de la dominante !

Et d'une voix autoritaire, elle s'adresse à Maigrichon pour lui donner l'ordre d'en finir en m'insultant au passage.
Tout de suite il accélère.
Je le sens, je soupir, j'halète, je bave, et cette fois je n'ai rien pour me raccrocher, ou si, le baiser qui est encore dans ma tête.

Je me crispe soudain, j'entends Maigrichon qui pousse des râles presque comme une bête, mon corps s'agite sous ses coups, il va de l'avant en arrière, je l'entends gémir.
Moi aussi je commence à gémir, puis, il pousse un râle déchirant, et je ressens une chaleur en moi, dans mon derrière ... Non les larmes ne coulent pas, ou juste une peut être ... J'ai chaud, et j'ai froid ... Je n'ose pas lever les yeux ... J'ai mal au derrière ...

(c) oxymort

Bend the knee

E.Perry & J.Oncero

◊ ◊ ◊

Le spectacle était très réjouissant : voir ainsi Jairo aller jusqu'au bout de MES idées juste pour le plaisir de me voir heureuse avait un côté très réjouissant.
Je m'étais toujours demandé ce qui pouvait motiver ainsi des individus à se soumette et au final, cela n'avait pas d'importance : il fallait des élus, supérieurs, marchant vers la lumière et pour les y amener il fallait des gens comme Jairo : destiné à servir de marche.
Jairo ne pouvait pas imaginer ce que je ressentais vis-à-vis de sa dévotion, ni même que "Maigrichon" n'était qu'un outil destiné à le pousser, lui, plus loin. Ce gars n'aurait surement pas accepté de se faire mettre par Jairo et quand bien même, Jairo avait une cage de chasteté, il n'aurait pas pu le faire et de toute manière, cela aurait donné un rôle légèrement dominant à Jairo, je ne doutais pas qu'il ait déjà utilisé son sexe, mais il y avait une certaine "pureté" dans sa soumission.

Sous mon ordre, "Maigrichon" était en train de pilonner violemment Jairo dont la mâchoire se crispait de plus en plus et il endurait toutes ses douleurs pour moi, j'en étais folle de désir, mais je m'abstenais de le montrer, une maîtresse doit rester impassible. Je le regardais droit dans les yeux, de cet air autoritaire et légèrement méprisant tandis qu'il sentait un autre homme lui démonter l'arrière train. Je ne pouvais, hélas, pas garder cette attitude longtemps, tant j'étais heureuse, un léger sourire vint illuminer mon visage tandis que "Maigrichon" gémissait avec force, signifiant la fin de la récréation.

"Maigrichon" tombait à genoux, le sexe ramollis, un long filet de sperme s'écoulant du bout de son sexe jusqu'au sol. Il était en nage, suant et bavant, il avait tout donné, bravo à lui, il avait mérité son repos.
Doucement je pliais les genoux et venait prendre Jairo dans mes bras, de ma main droite, je fis signe à "Maigrichon" de se joindre à nous qui ne se fit pas prier. A genoux, tous les deux dans mes bras.

— Bravo "Maigrichon" c'était une belle performance, j'ai bien d'autres plans pour toi, mais plus tard, pour le moment tu vas avoir droit à une récompense ...

Puis, je tournais ma tète vers Jairo, le regardant droit dans les yeux, passant ma main dans ses cheveux.

— Aujourd'hui tu m'a rendue très fière de toi. Tu peux te vanter de m'avoir offert un sacré spectacle. Je sais que tu as mal, autant physiquement que dans ta fierté, mais tu ignore à quel point j'ai apprécié ce que je viens de voir ... Alors tu auras le choix.

Doucement, j'enlève mes escarpins et les dépose aligné l'un à côté de l'autre sous le regard des deux soumis, puis j'ouvre la fermeture éclair et libère ma poitrine, m'allongeant sur une banquette non loin de l'endroit ou nous nous trouvions.

— Il va falloir me faire du bien avec vos langues messieurs, Jairo, tu choisis : les pieds ou les seins, "Maigrichon" s'occupera de l'autre partie ...

Cela me paraissait bien pour conclure cette séance ...

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